Steak tartare : comment apporter sa touche à la recette traditionnelle ?

Le steak tartare est un plat très apprécié en été comme en hiver. Sa préparation est assez facile, et si vous ne l’avez pas encore essayé, c’est le moment propice pour le faire. Cependant, si vous aviez l’habitude d’en cuisiner auparavant, quelques touches de créativité ne vous feront que le plus grand bien. Toutes les astuces dans cet article.

La recette traditionnelle du steak tartare

Les ingrédients

  • La viande

C’est le principal élément pour la préparation de votre steak. Pour obtenir à la fin un Tartare impeccable, il est nécessaire de veiller à la qualité de la viande. Opter pour de petits morceaux de viande est une petite astuce dont vous pouvez vous servir. Aussi, vous devez vous assurer que votre viande est fraîche. En effet, la consommation de viandes crues comporte de nombreux risques pour la santé. Pour éviter des problèmes comme une contamination bactérienne par exemple, il faut privilégier une viande fraîche pour votre cuisine.

Aussi, vous devez éviter la viande de bœuf ayant subi des traitements d’hormones. Il est donc préférable que vous vous en procurez à la ferme la plus proche de chez vous. Ou alors chez votre boucher, si vous voulez une viande provenant d’un élevage biologique.

  • Les autres ingrédients

Une fois que vous avez le principal ingrédient, la viande, il faut maintenant chercher les éléments secondaires qui composeront votre steak. La façon traditionnelle de cuisiner le steak tartare requiert l’utilisation de câpres, d’oignons blancs et frais, du persil plat ainsi que des cornichons. Il est aussi possible d’utiliser des paillettes de tomme de brebis, de la crème d’anchois, des graines de courge. Vous pouvez aussi utiliser de l’huile de sésame grillé ou des pignons de pin. Cependant, il faut privilégier les ingrédients bios et de bonne qualité.

La préparation

Une fois votre viande achetée, ne perdez plus de temps avant de l’utiliser. La durée de conservation d’un morceau de viande est de 3 jours au plus. Après avoir respecté cette chaîne de froid, vous pouvez morceler la viande en petites tranches d’un centimètre. Pour votre hygiène, il est recommandé de le faire avec un couteau tranchant et propre. Une précision : vous devez retirer la partie extérieure des tranches puis garder uniquement la partie tendre si la viande est amochée.

Après le morcellement des tranches, il faut envelopper l’ensemble dans un sachet plastique qui sera mis au congélateur pendant 4 heures. C’est assez long pour vous peut-être ? Vous pouvez vous en passer, mais dans ce cas, vous devez désinfecter vos tranches de viande avec une goutte d’huile essentielle de citron.

Ensuite, il y a l’étape de l’assaisonnement. Cela permet d’éviter le goût fade de la viande crue. Ainsi, l’assaisonnement peut se faire à l’aide de la moutarde de Dijon, du ketchup, de la mayonnaise, de l’huile d’olive, du poivre.

Dans un saladier, faites le mélange des oignons blancs et des câpres que vous auriez au préalable découpés en lamelles. À ce mixage, vous pouvez ajouter les autres ingrédients de votre cuisine. Vous devez juste après, fusionner le mélange des condiments et ingrédients à votre viande. Réservez le sel pour la fin, car il a tendance à rendre la viande crue plus dure.

Personnalisez votre steak tartare avec ces astuces

Il est toujours bien de faire preuve de créativité dans les préparations culinaires. Ainsi, pour marquer la différence avec votre steak tartare, vous pouvez y ajouter un jaune d’œuf cru. Il donnera de la couleur et de l’élégance à votre steak. Vous devez cependant créer un espace creux au-dessus de votre viande pour éviter qu’il ne glisse au pied de cette dernière.

Autrement, vous pouvez ajouter la sauce Worcestershire à votre steak. En fait, il s’agit d’un ingrédient d’origine anglaise qui apportera de nouvelles sensations et un parfum agréable à votre repas. Ou encore, si vous le voulez, vous pouvez mettre une feuille de basilic sur votre Tartare pour une belle présentation.

Cou farci à l’oseille : un plat tant aimé en Périgord

La cuisine périgordienne offre une variété de plats saisonniers ou non qui fait la fierté de cette région. Il existe de nombreuses recettes faites à base de viande et d’oseille qui régalent chaque jour les papilles des gens qui vivent au Périgord. Il y a par exemple le très connu plat du cou de canard farci et celui du cou d’oie farci. Nous vous présentons aujourd’hui, quelques recettes de cou farci à l’oseille, qui feront le bonheur de vos papilles si vous êtes un amoureux des plats du Périgord.

La recette du « cou de canard farci à l’oseille »

Ce plat traditionnel périgordien est un repas saisonnier fait maison. C’est une recette très facile, simple et rapide à réaliser. Pour la réalisation, il vous faut plusieurs ingrédients dont le plus important est le cou du canard. Pour un repas à base de 3 cous, voici comment vous devez procéder.

Les ingrédients

  • Trois cous de canard
  • Du bain de graisse de canard
  • De l’Armagnac
  • 300 g de chair à saucisse
  • Des feuilles d’oseille blanchies
  • Du sel et du poivre

La préparation

  • Il faut d’abord soigneusement peler les cous de canard. Pour réussir, ce n’est pas compliqué. Il suffit de tirer sur la peau exactement comme si l’on pelait un lapin.
  • Une fois les cous pelés, faites-les cuire pendant 2 h 30 min dans une bassine à confiture contenant de la graisse de canard.
  • Pendant que les cous cuisent, profitez de ce temps pour arroser la peau des cous avec de l’armagnac.
  • Une fois les cous cuits, égouttez-les, puis séparez la viande des petits os. Puisque la viande est confite, ce n’est pas difficile à faire.
  • Mixer les sucs, la viande des cous, la chair à saucisse ainsi que les feuilles d’oseille blanchies, puis assaisonnez la farce avec du sel et du poivre
  • Laissez reposer le mélange obtenu au frais toute une nuit.
  • Le jour suivant, il faut garnir les cous avec la farce et coudre les extrémités pour les maintenir fermés lors de la cuisson.
  • Faites bouillir la graisse dans la bassine pour y faire cuire les cous farcis pendant 40 minutes à feu moyen.
  • Retirer les cous farcis puis mettez-les au frais, ils peuvent être mangés dans quelques jours.

La recette du « cou d’oie farci à l’oseille »

Le cou d’oie farci à l’oseille est également une recette sortie tout droit de la cuisine périgordienne. C’est un plat qui se mange à froid il est généralement servi en hors-d’œuvre. Il est facile à réaliser, mais nécessite beaucoup de délicatesse. Pour faire un repas pour 4 personnes, voici la recette à suivre.

Les ingrédients

  • 1 cou d’oie
  • Des feuilles d’oseille blanchies
  • 400 g de la chair d’oie, y compris le cœur
  • 1 œuf
  • De la chair à saucisse
  • Du sel et des épices

La préparation

  • Ôtez la peau du cou de l’oie et retournez-la à l’envers, puis dégraissez-la délicatement.
  • Hachez la chair prélevée sur la carcasse et le cœur puis mélangez avec la chair à saucisse et les feuilles de l’oseille blanchies préalablement mixées.
  • Assaisonnez le mélange avec les épices et le sel puis liez le tout avec l’œuf.
  • Ensuite, vous devez coudre l’une des extrémités du cou, le garnir avec la farce, avant de coudre la deuxième extrémité pour le fermer, et éviter que la farce ne s’échappe au cours de la cuisson.
  • Faites bouillir la graisse dans une bassine pour y faire cuire les cous farcis pendant une heure. Au cours de la cuisson, retournez le cou.
  • Conserver le cou au frais pendant une journée avant de le servir.

Cou farci à l’oseille : un plat tant aimé en Périgord

La cuisine périgordienne offre une variété de plats saisonniers ou non qui fait la fierté de cette région. Il existe de nombreuses recettes faites à base de viande et d’oseille qui régalent chaque jour les papilles des gens qui vivent au Périgord. Il y a par exemple le très connu plat du cou de canard farci et celui du cou d’oie farci. Nous vous présentons aujourd’hui, quelques recettes de cou farci à l’oseille, qui feront le bonheur de vos papilles si vous êtes un amoureux des plats du Périgord.

La recette du « cou de canard farci à l’oseille »

Ce plat traditionnel périgordien est un repas saisonnier fait maison. C’est une recette très facile, simple et rapide à réaliser. Pour la réalisation, il vous faut plusieurs ingrédients dont le plus important est le cou du canard. Pour un repas à base de 3 cous, voici comment vous devez procéder.

Les ingrédients

  • Trois cous de canard
  • Du bain de graisse de canard
  • De l’Armagnac
  • 300 g de chair à saucisse
  • Des feuilles d’oseille blanchies
  • Du sel et du poivre

La préparation

  • Il faut d’abord soigneusement peler les cous de canard. Pour réussir, ce n’est pas compliqué. Il suffit de tirer sur la peau exactement comme si l’on pelait un lapin.
  • Une fois les cous pelés, faites-les cuire pendant 2 h 30 min dans une bassine à confiture contenant de la graisse de canard.
  • Pendant que les cous cuisent, profitez de ce temps pour arroser la peau des cous avec de l’armagnac.
  • Une fois les cous cuits, égouttez-les, puis séparez la viande des petits os. Puisque la viande est confite, ce n’est pas difficile à faire.
  • Mixer les sucs, la viande des cous, la chair à saucisse ainsi que les feuilles d’oseille blanchies, puis assaisonnez la farce avec du sel et du poivre
  • Laissez reposer le mélange obtenu au frais toute une nuit.
  • Le jour suivant, il faut garnir les cous avec la farce et coudre les extrémités pour les maintenir fermés lors de la cuisson.
  • Faites bouillir la graisse dans la bassine pour y faire cuire les cous farcis pendant 40 minutes à feu moyen.
  • Retirer les cous farcis puis mettez-les au frais, ils peuvent être mangés dans quelques jours.

La recette du « cou d’oie farci à l’oseille »

Le cou d’oie farci à l’oseille est également une recette sortie tout droit de la cuisine périgordienne. C’est un plat qui se mange à froid il est généralement servi en hors-d’œuvre. Il est facile à réaliser, mais nécessite beaucoup de délicatesse. Pour faire un repas pour 4 personnes, voici la recette à suivre.

Les ingrédients

  • 1 cou d’oie
  • Des feuilles d’oseille blanchies
  • 400 g de la chair d’oie, y compris le cœur
  • 1 œuf
  • De la chair à saucisse
  • Du sel et des épices

La préparation

  • Ôtez la peau du cou de l’oie et retournez-la à l’envers, puis dégraissez-la délicatement.
  • Hachez la chair prélevée sur la carcasse et le cœur puis mélangez avec la chair à saucisse et les feuilles de l’oseille blanchies préalablement mixées.
  • Assaisonnez le mélange avec les épices et le sel puis liez le tout avec l’œuf.
  • Ensuite, vous devez coudre l’une des extrémités du cou, le garnir avec la farce, avant de coudre la deuxième extrémité pour le fermer, et éviter que la farce ne s’échappe au cours de la cuisson.
  • Faites bouillir la graisse dans une bassine pour y faire cuire les cous farcis pendant une heure. Au cours de la cuisson, retournez le cou.
  • Conserver le cou au frais pendant une journée avant de le servir.

Cou farci à l’oseille : un plat tant aimé en Périgord

La cuisine périgordienne offre une variété de plats saisonniers ou non qui fait la fierté de cette région. Il existe de nombreuses recettes faites à base de viande et d’oseille qui régalent chaque jour les papilles des gens qui vivent au Périgord. Il y a par exemple le très connu plat du cou de canard farci et celui du cou d’oie farci. Nous vous présentons aujourd’hui, quelques recettes de cou farci à l’oseille, qui feront le bonheur de vos papilles si vous êtes un amoureux des plats du Périgord.

La recette du « cou de canard farci à l’oseille »

Ce plat traditionnel périgordien est un repas saisonnier fait maison. C’est une recette très facile, simple et rapide à réaliser. Pour la réalisation, il vous faut plusieurs ingrédients dont le plus important est le cou du canard. Pour un repas à base de 3 cous, voici comment vous devez procéder.

Les ingrédients

  • Trois cous de canard
  • Du bain de graisse de canard
  • De l’Armagnac
  • 300 g de chair à saucisse
  • Des feuilles d’oseille blanchies
  • Du sel et du poivre

La préparation

  • Il faut d’abord soigneusement peler les cous de canard. Pour réussir, ce n’est pas compliqué. Il suffit de tirer sur la peau exactement comme si l’on pelait un lapin.
  • Une fois les cous pelés, faites-les cuire pendant 2 h 30 min dans une bassine à confiture contenant de la graisse de canard.
  • Pendant que les cous cuisent, profitez de ce temps pour arroser la peau des cous avec de l’armagnac.
  • Une fois les cous cuits, égouttez-les, puis séparez la viande des petits os. Puisque la viande est confite, ce n’est pas difficile à faire.
  • Mixer les sucs, la viande des cous, la chair à saucisse ainsi que les feuilles d’oseille blanchies, puis assaisonnez la farce avec du sel et du poivre
  • Laissez reposer le mélange obtenu au frais toute une nuit.
  • Le jour suivant, il faut garnir les cous avec la farce et coudre les extrémités pour les maintenir fermés lors de la cuisson.
  • Faites bouillir la graisse dans la bassine pour y faire cuire les cous farcis pendant 40 minutes à feu moyen.
  • Retirer les cous farcis puis mettez-les au frais, ils peuvent être mangés dans quelques jours.

La recette du « cou d’oie farci à l’oseille »

Le cou d’oie farci à l’oseille est également une recette sortie tout droit de la cuisine périgordienne. C’est un plat qui se mange à froid il est généralement servi en hors-d’œuvre. Il est facile à réaliser, mais nécessite beaucoup de délicatesse. Pour faire un repas pour 4 personnes, voici la recette à suivre.

Les ingrédients

  • 1 cou d’oie
  • Des feuilles d’oseille blanchies
  • 400 g de la chair d’oie, y compris le cœur
  • 1 œuf
  • De la chair à saucisse
  • Du sel et des épices

La préparation

  • Ôtez la peau du cou de l’oie et retournez-la à l’envers, puis dégraissez-la délicatement.
  • Hachez la chair prélevée sur la carcasse et le cœur puis mélangez avec la chair à saucisse et les feuilles de l’oseille blanchies préalablement mixées.
  • Assaisonnez le mélange avec les épices et le sel puis liez le tout avec l’œuf.
  • Ensuite, vous devez coudre l’une des extrémités du cou, le garnir avec la farce, avant de coudre la deuxième extrémité pour le fermer, et éviter que la farce ne s’échappe au cours de la cuisson.
  • Faites bouillir la graisse dans une bassine pour y faire cuire les cous farcis pendant une heure. Au cours de la cuisson, retournez le cou.
  • Conserver le cou au frais pendant une journée avant de le servir.

Que comprendre de la cérémonie du thé japonaise ?

Le Japon est un pays, qui fascine par ses paysages et sa culture. Très avancé sur le plan technologique, ce pays n’en a pas moins su garder un attachement affectif à ses traditions. Parmi ces traditions, demeure la célèbre cérémonie de thé japonaise. Une cérémonie qui nécessite une étude et une compréhension approfondies des mœurs japonaises pour la pratiquer. Découvrez les origines de la cérémonie du thé et quelle est la philosophie cachée derrière cette tradition.

Le Chanoyu

La cérémonie de thé est appelée au Japon, « chanoyu » qui signifie littéralement « l’eau chaude du thé ». Ce terme se réfère principalement à la cérémonie elle-même. Un autre terme, « chado » qui se traduit en « la voie du thé » est lui utilisé pour désigner les rituels qui ont lieu pendant la cérémonie.

Le chanoyu est une chorégraphie de la préparation et du service du thé vert japonais « matcha ». Cette chorégraphie est connue du maître de cérémonie, qui est formé à la gestuelle, à la préparation de la boisson, et à la disposition du décor environnant. Des conditions qui se doivent d’être respectées, pour obtenir un moment d’harmonie et de sérénité, propre à la cérémonie.

L’origine de la cérémonie

Le bouddhisme zen est l’un des principes à la base de la création du chanoyu. Trois moines se distinguent par leur apport. Le premier, Murata Shuko, émit l’idée que la dégustation du thé pouvait être considérée comme un exercice pour méditer. Takeno Jo conçut plus tard des ustensiles d’un style très simple pour faciliter le service du thé. Enfin, celui que l’on considère comme le maître du thé, Sen no Rikyu, ajouta à la cérémonie, la touche de raffinement sobre et calme, que nous lui connaissons aujourd’hui.

Sen no Rikyu fut exilé par l’empereur, et plus tard, dû se donner la mort par seppuku (suicide rituel). Ses trois petits-fils fondèrent trois écoles pour enseigner les rituels derrière la cérémonie du thé, afin de transmettre et d’éduquer au déroulement de la cérémonie.

Le déroulement de la cérémonie

Le chanoyu se déroule en plusieurs étapes. Le maître de cérémonie commence par saluer ses invités, puis dispose les ustensiles à ses côtés. Suit, la préparation du thé, qui se fait pour chaque convive, un à la fois. Le bol de thé est présenté au premier convive, qui lève le bol en signe de respect envers son hôte, et le tourne pour le déguster. Il doit vider le bol en deux gorgées et demie, avant de reposer le bol devant lui. Le maître de cérémonie répète ensuite la même préparation pour chacun des convives. À la fin, il nettoie les ustensiles et les présente aux hôtes.

Que retient-on du Chanoyu ?

Ce qui rend le chanoyu spécial, c’est la philosophie qui est derrière la préparation et le service du thé. Une philosophie, qui se résume en quatre concepts clés.

Wa

Wa signifie « l’harmonie de la nature ». Le maître de cérémonie veille par ses gestes, à apporter une harmonie autour de la maison où s’effectue la cérémonie. Cela pour amener aux invités, paix intérieure et tranquillité.

Kei

Kei signifie « le respect ». Ce concept évoque un respect des gens autour de soi, de la nature et des outils impliqués dans la cérémonie. L’entrée de la salle où se déroule la cérémonie est souvent de petite taille, obligeant les participants à faire preuve de respect en s’inclinant pour rentrer.

Sei

Sei veut dire « pureté ». C’est un aspect que les participants s’appliquent à eux-mêmes, en harmonie avec le maître de cérémonie qui doit célébrer, et suivre les étapes, sincèrement et à cœur ouvert.

Jaku

Jaku, signifie « tranquillité ». C’est le point culminant des trois concepts évoqués. C’est en découvrant l’harmonie, en traitant leur semblable avec respect, et en laissant derrière eux leurs soucis, que les participants peuvent ressentir ce qu’est vraiment la tranquillité.

Au fil du temps, d’autres concepts se sont fait connaître, par leur intégrité à la cérémonie, en apportant, la modernité si propre au Japon.

Cou farci à l’oseille : un plat tant aimé en Périgord

La cuisine périgordienne offre une variété de plats saisonniers ou non qui fait la fierté de cette région. Il existe de nombreuses recettes faites à base de viande et d’oseille qui régalent chaque jour les papilles des gens qui vivent au Périgord. Il y a par exemple le très connu plat du cou de canard farci et celui du cou d’oie farci. Nous vous présentons aujourd’hui, quelques recettes de cou farci à l’oseille, qui feront le bonheur de vos papilles si vous êtes un amoureux des plats du Périgord.

La recette du « cou de canard farci à l’oseille »

Ce plat traditionnel périgordien est un repas saisonnier fait maison. C’est une recette très facile, simple et rapide à réaliser. Pour la réalisation, il vous faut plusieurs ingrédients dont le plus important est le cou du canard. Pour un repas à base de 3 cous, voici comment vous devez procéder.

Les ingrédients

  • Trois cous de canard
  • Du bain de graisse de canard
  • De l’Armagnac
  • 300 g de chair à saucisse
  • Des feuilles d’oseille blanchies
  • Du sel et du poivre

La préparation

  • Il faut d’abord soigneusement peler les cous de canard. Pour réussir, ce n’est pas compliqué. Il suffit de tirer sur la peau exactement comme si l’on pelait un lapin.
  • Une fois les cous pelés, faites-les cuire pendant 2 h 30 min dans une bassine à confiture contenant de la graisse de canard.
  • Pendant que les cous cuisent, profitez de ce temps pour arroser la peau des cous avec de l’armagnac.
  • Une fois les cous cuits, égouttez-les, puis séparez la viande des petits os. Puisque la viande est confite, ce n’est pas difficile à faire.
  • Mixer les sucs, la viande des cous, la chair à saucisse ainsi que les feuilles d’oseille blanchies, puis assaisonnez la farce avec du sel et du poivre
  • Laissez reposer le mélange obtenu au frais toute une nuit.
  • Le jour suivant, il faut garnir les cous avec la farce et coudre les extrémités pour les maintenir fermés lors de la cuisson.
  • Faites bouillir la graisse dans la bassine pour y faire cuire les cous farcis pendant 40 minutes à feu moyen.
  • Retirer les cous farcis puis mettez-les au frais, ils peuvent être mangés dans quelques jours.

La recette du « cou d’oie farci à l’oseille »

Le cou d’oie farci à l’oseille est également une recette sortie tout droit de la cuisine périgordienne. C’est un plat qui se mange à froid il est généralement servi en hors-d’œuvre. Il est facile à réaliser, mais nécessite beaucoup de délicatesse. Pour faire un repas pour 4 personnes, voici la recette à suivre.

Les ingrédients

  • 1 cou d’oie
  • Des feuilles d’oseille blanchies
  • 400 g de la chair d’oie, y compris le cœur
  • 1 œuf
  • De la chair à saucisse
  • Du sel et des épices

La préparation

  • Ôtez la peau du cou de l’oie et retournez-la à l’envers, puis dégraissez-la délicatement.
  • Hachez la chair prélevée sur la carcasse et le cœur puis mélangez avec la chair à saucisse et les feuilles de l’oseille blanchies préalablement mixées.
  • Assaisonnez le mélange avec les épices et le sel puis liez le tout avec l’œuf.
  • Ensuite, vous devez coudre l’une des extrémités du cou, le garnir avec la farce, avant de coudre la deuxième extrémité pour le fermer, et éviter que la farce ne s’échappe au cours de la cuisson.
  • Faites bouillir la graisse dans une bassine pour y faire cuire les cous farcis pendant une heure. Au cours de la cuisson, retournez le cou.
  • Conserver le cou au frais pendant une journée avant de le servir.

Steak tartare : comment apporter sa touche à la recette traditionnelle ?

Le steak tartare est un plat très apprécié en été comme en hiver. Sa préparation est assez facile, et si vous ne l’avez pas encore essayé, c’est le moment propice pour le faire. Cependant, si vous aviez l’habitude d’en cuisiner auparavant, quelques touches de créativité ne vous feront que le plus grand bien. Toutes les astuces dans cet article.

La recette traditionnelle du steak tartare

Les ingrédients

  • La viande

C’est le principal élément pour la préparation de votre steak. Pour obtenir à la fin un Tartare impeccable, il est nécessaire de veiller à la qualité de la viande. Opter pour de petits morceaux de viande est une petite astuce dont vous pouvez vous servir. Aussi, vous devez vous assurer que votre viande est fraîche. En effet, la consommation de viandes crues comporte de nombreux risques pour la santé. Pour éviter des problèmes comme une contamination bactérienne par exemple, il faut privilégier une viande fraîche pour votre cuisine.

Aussi, vous devez éviter la viande de bœuf ayant subi des traitements d’hormones. Il est donc préférable que vous vous en procurez à la ferme la plus proche de chez vous. Ou alors chez votre boucher, si vous voulez une viande provenant d’un élevage biologique.

  • Les autres ingrédients

Une fois que vous avez le principal ingrédient, la viande, il faut maintenant chercher les éléments secondaires qui composeront votre steak. La façon traditionnelle de cuisiner le steak tartare requiert l’utilisation de câpres, d’oignons blancs et frais, du persil plat ainsi que des cornichons. Il est aussi possible d’utiliser des paillettes de tomme de brebis, de la crème d’anchois, des graines de courge. Vous pouvez aussi utiliser de l’huile de sésame grillé ou des pignons de pin. Cependant, il faut privilégier les ingrédients bios et de bonne qualité.

La préparation

Une fois votre viande achetée, ne perdez plus de temps avant de l’utiliser. La durée de conservation d’un morceau de viande est de 3 jours au plus. Après avoir respecté cette chaîne de froid, vous pouvez morceler la viande en petites tranches d’un centimètre. Pour votre hygiène, il est recommandé de le faire avec un couteau tranchant et propre. Une précision : vous devez retirer la partie extérieure des tranches puis garder uniquement la partie tendre si la viande est amochée.

Après le morcellement des tranches, il faut envelopper l’ensemble dans un sachet plastique qui sera mis au congélateur pendant 4 heures. C’est assez long pour vous peut-être ? Vous pouvez vous en passer, mais dans ce cas, vous devez désinfecter vos tranches de viande avec une goutte d’huile essentielle de citron.

Ensuite, il y a l’étape de l’assaisonnement. Cela permet d’éviter le goût fade de la viande crue. Ainsi, l’assaisonnement peut se faire à l’aide de la moutarde de Dijon, du ketchup, de la mayonnaise, de l’huile d’olive, du poivre.

Dans un saladier, faites le mélange des oignons blancs et des câpres que vous auriez au préalable découpés en lamelles. À ce mixage, vous pouvez ajouter les autres ingrédients de votre cuisine. Vous devez juste après, fusionner le mélange des condiments et ingrédients à votre viande. Réservez le sel pour la fin, car il a tendance à rendre la viande crue plus dure.

Personnalisez votre steak tartare avec ces astuces

Il est toujours bien de faire preuve de créativité dans les préparations culinaires. Ainsi, pour marquer la différence avec votre steak tartare, vous pouvez y ajouter un jaune d’œuf cru. Il donnera de la couleur et de l’élégance à votre steak. Vous devez cependant créer un espace creux au-dessus de votre viande pour éviter qu’il ne glisse au pied de cette dernière.

Autrement, vous pouvez ajouter la sauce Worcestershire à votre steak. En fait, il s’agit d’un ingrédient d’origine anglaise qui apportera de nouvelles sensations et un parfum agréable à votre repas. Ou encore, si vous le voulez, vous pouvez mettre une feuille de basilic sur votre Tartare pour une belle présentation.

Que comprendre de la cérémonie du thé japonaise ?

Au Japon, le thé occupe une place très importante. Cette place de choix accordé à ce breuvage a donné naissance à la célèbre cérémonie du thé qui ne se démode pas depuis plusieurs siècles, mais qui au contraire, se développe et se perpétue. Véritable art traditionnel, cette cérémonie est soumise à des règles et formalités strictes.

Histoire de la cérémonie du thé au Japon

Les graines de thé ont été introduites pour la première fois au Japon à l’époque de la dynastie Tang. La toute première cérémonie de thé japonaise a eu lieu au VIIIe siècle. Elle a été révolutionnée grâce au livre écrit par un prêtre bouddhiste chinois, qui en décrit la préparation.
Entre 710 et 794, le thé commença à prendre une grande place dans la société, car il était consommé par des prêtres et des nobles à des fins médicinales. À partir de ce moment, des règles et des formalités strictes ont commencé à naître autour de la consommation de ce breuvage.
En 1187, le thé a été introduit dans une consommation plus religieuse. Il n’était plus consommé uniquement à des fins médicinales grâce aux connaissances acquises par Myoan Eisai, qui se rendit en Chine pour étudier la philosophie et la religion.

Le XIIIe siècle a marqué un tournant décisif en ce qui concerne la popularité de la cérémonie du thé japonais, grâce aux samouraïs.

Les hautes personnalités ainsi que les gens de différentes classes sociales ont commencé à organiser à leur tour, des cérémonies de thé. C’est ainsi que Murata Shukou, prêtre zen, l’un des plus grands concepteurs de salon de thé, fut connu sous le nom de « père de la cérémonie du thé ».

Enfin, au XVIe siècle, la consommation du thé a connu une grande expansion à tous les niveaux de la société japonaise. Sen no Rikyü, l’une des plus importantes figures historiques de la cérémonie du thé, en a perfectionné de nombreuses formes grâce à ses enseignements.

Les différents types de cérémonie du thé

La cérémonie japonaise du thé est un rituel qui se déroule sous plusieurs formes en fonction des saisons, de l’heure à laquelle elles ont lieu ou encore de l’école de la cérémonie japonaise du thé.

Ainsi nous avons par exemple :

La cérémonie Hatsugama

Son nom signifie « première bouilloire ». Elle a lieu en janvier et c’est la première cérémonie de l’année. En général, l’enseignant enseigne et guide les élèves. Mais à cette occasion ce dernier leur prépare du thé avec un repas assorti.

La cérémonie Akatsuki-no-chaji

Ce nom signifie en japonais « cérémonie du thé de l’aube en hiver ». Elle se déroule en hiver, plus précisément à l’aube.

La cérémonie Yuuzari-no-chaji

Ce nom signifie « cérémonie du thé en début de soirée ». Cette cérémonie a lieu au cours des mois les plus chauds.

Déroulement de la cérémonie du thé au Japon

Les ustensiles utilisés lors de la cérémonie sont :

  • Le fouet en bambou appelé « Chasen » utilisé pour mélanger l’eau et le thé.
  • La cuillère en bambou ou « Chashaku » utilisée pour doser le thé
  • Le bol traditionnel « Chawan »

Durant cette cérémonie, le thé est souvent accompagné des friandises japonaises appelées « wagashi ». Au début de la cérémonie, le maître de thé salue les invités tout en plaçant les ustensiles autour de lui afin de servir les invités tour à tour. Ensuite, le maître dépose deux cuillères de poudre de « Matcha » (thé vert en poudre généralement très cher) au fond des bols, complète de l’eau chaude et mélange le tout à l’aide du « Chasen ».

Le premier invité servi salue le deuxième invité avant de goûter et lève son bol en signe de révérence pour l’hôte. Pour finir, il tourne deux fois son bol dans le sens normal des aiguilles d’une montre.

La cérémonie du thé au Japon est un art qui se perpétue de génération en génération. Afin de vous faire vivre cette cérémonie extraordinaire, le Japon dispose de plusieurs maisons de thé très accueillantes qui vous emmèneront au cœur de cette tradition.

Faut-il encore craquer pour un robot cuiseur en 2019 ?

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Quels sont les meilleurs sites marchands pour acheter du café ?

Le café est l’une des boissons les plus ingurgitées à travers le monde. Produites en plusieurs pays, déclinées sous plusieurs formées et renfermant divers goûts, les graines de café sont de véritables condensations de saveurs et de sensations. Mais ça, vous le savez déjà, puisque vous avez choisi d’en faire votre métier. Vous vous êtes spécialisé dans le café et vous cherchez désormais la bonne adresse à laquelle trouver les meilleurs grains de cafés. La tâche est-elle peut-être devenue plus difficile à cause de la floraison un peu partout des sites et des points de vente. Mais pour vous aider à faire le bon choix, voici notre sélection des meilleurs sites marchands pour acheter du café.

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Combien coûte une colonie de vacances ?

Pour des vacances inoubliables, la colonie juillet constitue la solution idéale. Elle est destinée aux enfants ainsi qu’aux adolescents. Au cours d’une colonie de vacances, différentes activités ludiques sont à pratiquer. Il y a des ateliers d’apprentissage très intéressants, les enfants en profitent également pour se faire de nouveaux amis. Toutefois, pour mieux préparer le départ de vos enfants en colonie de vacances, il est préférable de connaître les coûts. Cela vous permet de mieux gérer votre budget afin d’offrir une excellente colonie à votre enfant.

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Robot patissier : un accessoire indispensable en cuisine ?

Les passionnées de la cuisine doivent disposer au moins des outils de base et surtout les meilleurs pour faciliter leur travail. Le robot pâtissier fait partie de ces équipements indispensables que tout cuisinier devrait posséder. Pour un service rapide et toujours impeccable, cet outil s’avère un bon compromis. (Pour en savoir plus sur le robot pâtissier, n’hésitez pas à consulter cet article).

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Quelles activités réaliser en vacances dans la Vallée de la Dordogne ?

Les régions de France sont par excellence des sites touristiques qui accueillent des milliers de vacanciers chaque année. La Dordogne en fait partie et il faut avouer que c’est le cadre idéal pour tous les amoureux de la nature. Ce département français offre une kyrielle d’activités pour permettre à ses hôtes de s’épanouir à fond. Avec un camping en Vallée de la Dordogne, vous pouvez vous lancer dans plusieurs activités très plaisantes, de quoi garder un très beau souvenir à la fin de votre séjour.

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Où manger un bon hamburger à Genève ?

Située à la pointe sud du lac Léman, Genève est une ville suisse reconnue pour la beauté des paysages qui l’entourent. Elle est bordée de part et d’autre par les montagnes du Jura et des Alpes. Entre les magnifiques vues qu’elle vous offre, ses paysages exceptionnels, vous serez certainement éblouis par de nombreuses découvertes. Parmis elles, la gastronomie locale constitue un grand atout pour cette ville. Si vous recherchez un restaurant où manger un bon hamburger, nous vous proposons ici une sélection de meilleurs coins gourmands.

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Les pièces justificatives obligatoires pour ouvrir un restaurant dans le Périgord

Ouvrir un restaurant, tel est le rêve d’un grand nombre de personnes. En France, ce sont des centaines de milliers de restaurants qui se trouvent sur le territoire. Certains pour de la nourriture rapide (fast food), d’autres pour des plats régionaux, de la haute gastronomie, des restaurants « expérimentaux », etc…

Quelque soit votre projet dans le Périgord, sachez qu’un certain nombre de pièces justificatives vous seront demandées si vous voulez ouvrir votre propre restaurant. A travers cet article, nous allons tout vous expliquer !

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Quels sont les meilleurs restaurants en Dordogne ?

Ah la Dordogne ! Cette magnifique région ne laisse pas insensible les français puisqu’ils sont chaque année des centaines de milliers à s’y rendre ! Tous les logements sont pris d’assaut en juillet et août et, comme pour toutes les régions touristiques, il est difficile de trouver les meilleurs restaurants : entre attrape-touristes et bonnes adresses il faut faire attention ! Continuer la lecture